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Le Château La Louvière a plus d'un charme à offrir : un patrimoine architectural somptueux datant de la fin du XVIIIe siècle, mais aussi une histoire viticole vieille de plus de 700 ans. Si les premiers pieds de vignes ont été plantés vers 1310, le savoir-faire en matière de viticulture date du XVIIe siècle et a été transmis par les religieux de la Grande Chartreuse de Bordeaux, habiles viticulteurs et fins vinificateurs. Les hommes d'aujourd'hui ont hérité de ces techniques ancestrales et ont su apporter ce soupçon d'innovations et de modernité nécessaire pour sublimer le caractère de ce terroir d'exception. D'une robe sombre, le vin rouge de La Louvière a un nez élégant, marqué de délicates notes boisées...
Ample et Complexe
Merlot 30% / Cabernet Sauvignon 70%
Le 1er semestre 2013 a enregistré des records de pluviométrie. Un printemps très frais, voir froid (mai et juin) a entrainé un important retard dans le vignoble (floraison). Une météo beaucoup plus favorable (chaleur et ensoleillement) s'est mise en place à partir de juillet, jusqu’aux vendanges.
Sa robe est d’une remarquable intensité, d’un beau rouge rubis très profond.
Le nez est élégant avec un harmonieux mélange d’arômes de fruits rouges, légèrement épicé.
La bouche est généreuse, ample, pleine de fraîcheur ; nous sommes face à un Cabernet Sauvignon racé. Les tanins sont concentrés, encore un peu fermes mais ceux-ci s’atténueront avec un peu de patience. On saura l’attendre 3 ou 4 ans avant d’en apprécier toute la complexité. À table, il sera le compagnon idéal d’un délicieux canard braisé aux champignons, d’un salmis de palombe, ou bien encore de ris de veau financière.
Édition 2017 - Non classé, Château La Louvière, limitrophe de Carbonnieux et Haut-Bailly, n’en n’est pas moins un cru emblématique de Pessac-Léognan – par l’élégance de son château classé monument historique par l’ancienneté de son vignoble (XVIe siècle), par le rôle de son propriétaire (André Lurton, depuis 1965) dans la naissance de l’A.O.C. et par la qualité constante de ses vins. La robe profonde inspire confiance. Le bouquet, encore discret, associe les fruits rouges et le sous-bois à un boisé épicé. Rond et souple en attaque, le palais révèle une bonne matière étayée par une structure tannique bien présente – pour l’heure, ferme et strict en finale.
Guide d'achat des crus - Fruité et enrobé.
Le nez est très charmeur (pour un primeur 2013) avec de jolies notes de fruits tendres (cassis et myrtille) et un rien de cèdre et de cannelle. La bouche, sur la réserve, joue la partition minérale sous tension et fraîcheur.
Une note de chêne douce et marquée. Des tannins plutôt trapus dominent le palais et le fruit n'est pas assez concentré. À boire en 2016-2020. (Richard Hemming)
Une belle pureté et des arômes aériens, avec notamment des notes de cassis apportant du croquant et de la fraîcheur en bouche. Un rouge léger qui sera très agréable à déguster dans 4 ou 5 ans. (Jeannie Cho Lee)
Belle couleur, nez puissant sur les épices et même le fumé, tannins fermes, un rien trop abrupts, mais l’élevage adoucira.
Une robe rubis soutenue, d'intensité moyen plus. Des arômes plutôt subtils de clou de girofle et de bacon fumé au nez, accompagnés d'une touche de mine de crayon suggérant l'influence non seulement du chêne mais aussi du terroir. Des notes affirmées de fruits noirs, où cerise noire et quetsche prévalent sur les fruits d'été, témoignant d'une maturation probablement plus avancée. Les tannins et l'acidité sont bien là, plutôt intéressants, mais il lui manque encore l'éclat et la matière qui le rehausseront et le rendront réellement plaisant. Il offre toutefois un bon potentiel. Des tannins avec beaucoup de mâche. Recommandé à fortement recommandé. À boire entre 2019 et 2030.
Très agréable avec des notes de mûre et de réglisse, ainsi qu'une pointe d'ardoise. Charpenté, avec des tannins bien intégrés et une finale rafraîchissante. Très réussi.
Ouvert et souple, avec une attaque parfumée aux notes de bois de santal et de thé, soutenue par des arômes de groseille et de noyau de cerise. Une pointe de balsa et une légère fermeté sous-tendent la finale. Un vin qui aura besoin de temps pour s'épanouir. (James Molesworth)
Échantillon prélevé sur barrique. Il s'agit là d'un vin parfumé, avec des tannins aux accents fumés et des saveurs de mûre bien présentes. La finale est juteuse et fraîche.(Roger Voss)
2018 - 2030
Viandes blanches | Légumes | Fromages | Salades composées |
Viandes rouges |
46,00 hectares
Graves profondes
Manuelles en petites cagettes profondes.
101.14 - Riparia gloire - 3309
Fertilisation classique raisonnée
8500 pieds par hectare
25 ans
Cabernet Sauvignon / Merlot / Petit Verdot
Guyot double avec ébourgeonnage
En cuves inox thermo-régulées avec système breveté d’émiettage du chapeau de marc et en cuves béton, avec pigeage.
28 à 30 °C
Oui
Pendant 12 mois en barriques (40% neuves) avec soutirages.
Au blanc d’œuf
Suivant les millésimes, commence à s’exprimer entre 3 et 5 ans, peut vieillir entre 15 et 30 ans.
Michel ROLLAND et Mikaël LAIZET.
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